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La charte de cybercourtoisie

Depuis le début de nos partages sur Instagram, avant même la création du blog lorsque nous n’avions mis en place qu’un Google Drive, nous nous étions mis d’accord pour toujours respecter les blogueuses, auteurs d’Internet. Nous tenions à toujours citer nos inspirations et lorsque nous reprenons quelque chose, nous nous partageons que l’auteur en est d’accord. D’ailleurs, on demande rarement et on préfère orienter vers l’auteur directement. La charte de cybercourtoisie créée par La Tanière de Kyban représente au mieux cet état d’esprit mais nous n’en avions jamais parlé par ici alors que nous la suivons depuis sa création.

Il est plus que temps de marquer notre choix et notre volonté de la respecter sur le blog comme sur Instagram.

La charte de cybercourtoisie

 

Ce blog a pour vocation de partager des ressources pédagogiques ou liées au métier d’enseignant dont je suis l’auteur, bien que ces ressources puissent s’appuyer sur le travail d’autrui (livres, méthodes, articles, etc.). En suivant cette charte, j’affiche mon respect et ma reconnaissance envers ces personnes et leur travail.

Article 1

Je m’efforce de citer mes sources, blog (ou site), auteur et lien à l’appui, lorsque je m’inspire du travail d’un autre, même si ma production finale s’en éloigne. C’est ainsi qu’évoluent les idées.

Si je ne connais pas l’auteur de la ressource qui m’a inspiré, j’essaye de faire des recherches pour le retrouver afin de pouvoir le citer.

Article 2

Je ne partage pas directement, ni sur mon blog, ni sur les réseaux, un document qui n’est pas le mien, sauf accord explicite de l’auteur. Sinon, je redirige le visiteur vers sa source.

Lorsque mon travail ne consiste qu’en une remise en page ou une amélioration d’ordre esthétique d’une idée originale propre à un autre blogueur ou auteur identifiable, je demande l’autorisation avant de partager mon travail.

Article 3

En cas d’impair de ma part ou d’un autre, j’échange courtoisement afin de trouver une solution. En première intention, je préfère contacter directement la personne concernée et lui donne l’opportunité d’expliquer sa démarche.

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